Agresseur caché

Elle voulut tirer mais l’agresseur était caché.  Lorsque l’agresseur voulut regarder vers la veuve, la femme eut peur mais tira quand même. La veuve voulut appeler la police mais n’avait pas son téléphone.

Elle alla chez elle, ouvrit la porte, s’approcha du téléphone jusqu’à ce qu’elle entendit un bruit venant de la cuisine. La veuve se cacha derrière la porte de la cuisine. En prenant le téléphone, elle remarqua une ombre devant la porte d’entrée. Elle alla se cacher dans la salle de bains pour avoir le temps de sortir son arme. Puis elle s’avança vers la porte et vit que l’ombre n’était plus là. La veuve revit l’ombre devant sa chambre. Elle essaya  de regarder qui était là, mais on lui lança un couteau avant même qu’elle eut le temps de se pencher pour voir. Elle eut la chance d’avoir réussi à esquiver le couteau. La jeune femme était maintenant sûre qu’il y avait une autre personne dans l’appartement. Elle se cacha dans la salle de bains jusqu’à ce que l’agresseur se dirige vers elle. Puis elle sortit de sa cachette et lui tira dessus avant même qu’il eut le temps de réagir. La veuve reprit le téléphone et appela la police.

Somir

L’amour impossible

Après avoir croisé le regard de tous ses nouveaux voisins, il se dirigea vers sa maison.

Il sortit ses clés de sa poche, il déverrouilla la porte et entra. Quelques minutes après son arrivée dans le village  une des voisines, qui avait de jolis petits yeux bleus d’ailleurs, arriva avec une assiette de navets et lui dit « Bonjour, je viens vous offrir une assiette de navets et vous saluer. C’est une tradition d’offrir cette sorte de légumes aux arrivants de Navévil. »

Il lui fit un sourire et lui dit d’entrer. Il était en plein emménagement dans sa maison. Il avait à peine placé un fauteuil qu’il lui proposait de s’installer et de manger avec elle l’assiette que la jeune femme avait apportée. Elle accepta et commença à manger quand tout à coup un homme frappa à la porte avec violence. Il alla ouvrir aussitôt. L’homme hurla  « Leïla ! » à plusieurs reprises. Il attrapa la jeune femme par le bras et la tira en direction de la sortie. Hadji ne parlait pas mais soudain, il décida de rétorquer <<LACHEZ-LA, LACHEZ-LA » L’homme en colère lui répondit « Je fais ce que je veux de ma fille ! » Hadji regarda la femme et leur ferma la porte au nez. La journée se passa paisiblement et la nuit arriva. Il pensa à elle toute la nuit. Son prénom résonnait dans sa tête puis il s’endormit avec l’image de cette belle femme. Le lendemain matin, Hadji se réveilla et ouvrit les fenêtres. C’était le jour du marché. Il décida d’y aller en espérant voir Leïla. Il arriva donc au marché. Il fit ses courses sans avoir croisé Leïla mais en rentrant, il la vit et lui fit un grand sourire. Il alla la saluer puis rentra chez lui tout content. Il posa ses course sur la table et réfléchit à une chose : aller voir le père de Leïla pour demander la main de sa fille. Il enfila sa plus belle tenue, se coiffa et il sortit. Arrivé devant la magnifiques maison  de la famille de Leïla, il souffla un bon coup et toqua. C’est le père qui ouvrit. Il lui lança un regard méprisant et lui dit « Que voulez-vous ? » Hadji lui rétorqua que c’était vraiment important. Alors  le père de famille lui dit d’entrer. Hadji entra et s’installa tout gêné et intimidé. Il prit son courage à deux mains et commença à parler. « Euh…En fait…Donc…En fait euh j’aimerais épouser votre fille Leïla. » Le père très en colère lui dit de sortir et de ne plus s’approcher de sa fille, Hadji lui aussi cria « Je l’aurai, que vous le vouliez ou non ! » Il retourna chez lui. Il réfléchit à plusieurs idées pour partir avec Leïla. Soudain il eut une idée mais il avait très peur il décida de faire ce qu’il avait en tête dans la nuit. A la nuit tombée il se rendit derrière la maison Leïla, il grimpa à l’aide d’une échelle jusqu’à sa fenêtre. Arrivé dans la chambre de Leïla, il la réveilla tout en chuchotant. En se réveillant elle poussa un grand cri, Hadji mit sa main sur sa  bouche et lui dit de se taire et de ne pas s’inquiéter, qu’ils iraient loin, ensemble. Leïla quand même inquiète lui posa beaucoup de questions. Hadji lui dit « Contente-toi de prendre des affaires utiles,  nous n’avons pas beaucoup de temps. » Alors elle se dirigea vers la voiture de Hadji. Une fois dans la voiture, il démarra pour quitter la ville. Ils firent une pause dans un restaurant. Il alla commander et quand il revint, il vit le père de Leïla avec des hommes armés et cagoulés. Sur le coup il courut vers Leïla mais les hommes l’en empêchait et il ne cessait de crier « LAISSEZ MA FEMME TRANQUILLE! ». Il essaya de s’échapper pour aller chercher de l’aide mais en s’échappant il reçut une balle dans le cou. Leïla pleurait toutes les larmes de son corps son père était aux anges. Leïla pleurait encore plus, elle n’arrêtait pas de pleurer.

C’était malheureusement bien la fin de son histoire.

Toianty.Y

 

 

La veuve Dolgorouki

Apeurée, elle ferma les yeux et tira. Vint un grand silence. La veuve ouvrit les yeux. En ne voyant personne, elle pensa que ce n’était qu’une hallucination. Maladroite, elle monta les escaliers. En arrivant chez elle, fatiguée, elle se précipita dans sa chambre et s’allongea sur son lit. Elle n’arrivait pas à dormir tellement elle pensait à ce qui venait de se passer. Elle réussit malgré tout à s’endormir. A minuit passé, la jeune femme entendit un bruit. Elle crut que c’était lui, l’agresseur de le la cage de l’escalier B. Elle se cacha sous le lit et pensa :  » Ce n’est qu’un cauchemar « .

L’agresseur entra et fouilla tout l’appartement en disant :  » Où est-elle ? « .

La femme courageuse sortit de sa cachette, prit son arme et se mit derrière la porte de la chambre. L’agresseur arriva. La veuve prit l’homme masqué  par surprise et tira sur lui. L’inconnu tomba par terre et mourut. La jeune femme resta immobile pendant quelques secondes, prit ses affaires et sortit de l’appartement en laissant la porte ouverte pour toujours. La jeune veuve commença une nouvelle vie.

LUCIE.G

La carabine féérique

La veuve Dolgorouki était de plus en plus apeurée, les secondes étaient infernales et insupportables.

Subitement, un grand homme apparut, porteur d’une arme dirigée vers la veuve. Cette dernière, par réflexe, tira plus vite que l’inconnu. Le mystérieux personnage était allongé dans une mare de sang vermillon. En état de choc la veuve appela la police. Dix minutes plus tard, les policiers arrivèrent. La vieille femme, chez elle, raconta l’histoire à l’agent Stays. Soudain, deux autres policiers entrèrent chez la veuve, tenant un portable qu’ils firent écouter à Stays et à Dolgorouki :

– Il faut tuer Dolgorouki et prendre son argent, nous en avons besoin.

– Aujourd’hui, à dix-sept heures trente-cinq, ce message est arrivé d’un numéro masqué, dit l’un des agents.

La veuve prit peur mais le policier la rassura :  » Ne vous inquiétez pas, méfiez-vous seulement des personnes qui vous entourent et tout se passera bien.  »

Les policiers partirent avec le corps après avoir nettoyé le sang. Le lendemain, après une nuit blanche, la veuve était allongée sur le canapé du salon, buvant un thé à la menthe, une spécialité asiatique. A vingt heures passées, elle revenait des courses au supermarché. Elle montait les marches d’escaliers. Et la peur resta dans sa tête.

BOUM, BOUM, des sons en bas de l’escalier résonnaient, l’affolement l’envahissait. Elle prit une arme dans son sac mais un homme avec une carabine lui tira dessus ; en tombant, elle vit une fée nocturne, petite et noire. La fée sortit de la carabine en même temps que la balle puis disparut aussitôt. Juste avant de mourir, la veuve entendit une seule chose : des pas.

L H

Le maudit inconnu

La veuve Ddécida de tuer l’inconnu et quand elle prit l’arme, elle sentit qu’il y avait un ange et un petit diable qui arrivaient et se penchaient pour lui murmurer à l’oreille. L’un lui conseillait :  » Ne fais pas ça  » avec une petite voix douce et l’autre lui ordonnait d’une voix grave :

– Allez, allez, tue-le, vas-y ! De toute façon, il voulait t’agresser, tue-le sans fermer les yeux ! N’aie pas pitié de lui .

L’autre lui répéta  » Non ! « , tandis que le diable lui commandait :

– Ne l’écoute pas, celui-là, tu vas mourir à cause de lui !

Et elle écouta le petit diable et dit :

– En fait, tu as raison, je vais le tuer. Puis se tournant vers la silhouette menaçante : Et toi prépare-toi à mourir, pauvre type !

Et soudain, alors qu’elle avait décidé de le tuer, l’homme s’enfuit par la fenêtre d’urgence. Le diable reprit :

– Pars à sa recherche ! Que fais-tu encore ici ?

– Mais, mais… Il était là il y a à peine une seconde ! Ou est-il parti ? Bref demain je partirai à sa recherche .

Le lendemain matin elle se réveilla et vit une enveloppe sous la porte. Elle la prit et commença la lire : « Eh, toi, miss la veuve, ce soir je serai ton cauchemar ! HAHAHA ! « 

M.S.

Le mystérieux être caché

La veuve Dolgorouki s’avança discrètement, entendit un petit craquement sous l’escalier B… Elle prit peur et crut voir une petite silhouette, en s’avançant quelques mètres de plus. Elle n’était pas rassurée mais elle décida d’aller voir qui s’y cachait .

Une fois arrivée devant les marches, elle vit une feuille morte et poussa un cri de soulagement. Elle se demandait pourquoi un tel bruit pour une simple feuille… Elle se retourna, et sentit quelque la frôler, elle cria très fort et la porte claqua. Elle partit en courant.

Une fois dehors, elle avait tellement peur qu’elle décida d’appeler la police pour leur expliquer qu’il se passait quelque chose de très étrange en bas de chez elle. Les policiers enfin arrivés décidèrent d’aller voir ce qu’il se passait. Ils demandèrent à la veuve d’où venait le bruit . Elle leur indiqua l’endroit précis, sous les marches de l’escalier B. En-bas, ils virent une petite boîte. Lorsqu’ils l’ouvrirent ils eurent la surprise d’apercevoir trois petits chatons à l’intérieur. Ils se retournèrent et virent la maman qui les regardait avec inquiétude.

Depuis le début, c’était une famille de chats qui se cachait sous les escaliers et le frôlement la veuve avait ressenti, c’était la maman chat qui s’enfuyait. Depuis ce jour-là toute la famille chat vit chez la veuve Dolgorouki.

K. J.

Kensuké le sorcier

«Aussitôt après il sentit une douleur cuisante dans sa nuque,dans ses jambes et dans son dos.» Il sortit de l’eau mais sa douleur continuait. Kensuké arriva vers lui et dit  « J’avais dit pas aller dans l’eau, Micasan ». Kensuké emmena Michael dans sa cabane. Il lui fit boire un breuvage noir. « Ça va beaucoup mieux » dit Michael.

Il retourna chez lui mais il se disait que Kensuké n’était pas innocent dans cette histoire, la preuve, il savait comment soigner sa douleur. Il allait espionner Kensuké la nuit. Il arriva à sa cabane et vit Kensuké faire des mélanges de liquides divers. Il avait une bouteille qui reposait sur la fenêtre. Michael la prit et s’enfuit. Il en renversa sur une fleur, la fleur se fana. Il comprit que ce mélange était du poison et comprit tout le reste aussi. Ainsi Kensuké était un sorcier. Il devait réfléchir à ça à tête reposée.

Le lendemain, il alla voir ce que faisait Kensuké. Celui-ci était sur la plage en train de marmonner quelque chose d’incompréhensible. Il devait se révolter, mais comment ? L’homme pouvait à tout moment lui jeter un sort. L’enfant attendit la nuit. Kensuké faisait ses potions. Michael prit le bâton de Kensuké et le brisa. Kensuké entra dans une rage folle mais Michael avait gardé du poison sur lui et le jeta sur Kensuké qui hurla et mourut .

M.F.

« Maintenant l’arme était dirigée vers le danger ».

Et elle resta figée sur place …L’homme se mit à bouger. Prise de panique, elle tira !
L’homme prit la fuite.. . Ce qu’elle ne savait pas, c’est que l’homme était un détenu qui venait de s’échapper de prison.

Le lendemain,elle vit aux informations qu’un détenu s’était échappé.
Le matin en allant au travail, elle regarda dans sa boite aux lettres et découvrit une lettre qui disait:
« Tu te souviens quand tu m’as tiré dessus ? Et bien tu m’as raté…Sache que je ne te raterai pas !!! »

Elle eut tellement peur qu’elle rentra chez elle et appela la police mais la ligne était coupée. Elle n’avait pas de téléphone portable. Et quelqu’un frappa a la porte. C’était son fils. Elle le laissa entrer. Elle lui raconta tout. Comme il était riche il lui proposa d’aller habiter sur la Côte d’Azur.
Six mois plus tard, elle reçut une lettre qui disait :
« Tu te souviens de moi…et bien je suis revenu te tuer »
Et là, BOUM ! Ce fut la fin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Th.

L’affrontement

« Maintenant, l’arme était dirigée vers le danger. »

Des gouttes de sueur perlaient sur le visage de la veuve Dolgorouki. Son cœur battait de plus en plus vite.

Elle aurait pu prendre la poudre d’escampette, s’enfermer à double tour et appeler la police. Mais au lieu de ça, elle braqua son arme sur l’inconnu. Que pouvait-elle faire ? Lui aussi devait avoir un couteau ou bien une arme à feu.

Soudain, l’inconnu avança de quelques pas. La veuve Dolgorouki remarqua le rictus sur ses lèvres. C’était à glacer le sang.

Et si elle le tuait, quelles en seraient les conséquences ? Elle pourrait aller en prison, sûrement à perpétuité. Mais elle n’avait pas non plus envie de mourir.

Elle était jeune, belle, intelligente et malgré la récente perte de son mari, elle voulait fonder une famille. Ses doigts, accrochés à l’arme, étaient prêts à appuyer sur la détente.

Soudain, elle sentit une vive douleur au niveau de son cœur et s’écroula par terre. Elle vit une silhouette de femme parler à l’inconnu. Puis ses paupières se fermèrent lourdement.

Elodie

L’inconnu

La veuve Dolgorouki s’avança doucement vers la cage d’escalier B. Elle était dans l’obscurité totale, elle avait peur. La femme entendit des bruits de pas et de respiration. L’adrénaline montait de plus en plus. Elle cherchait l’interrupteur en passant ses mains sur le mur mais n’arrivait pas à le trouver. Son cœur battait très fort et des gouttes de sueur coulaient le long de son front. Elle était sur les nerfs et essaya de se calmer, s’arrêtant tout près de l’escalier.

Elle tendit l’oreille pour écouter le moindre bruit qu’il pouvait y avoir. Ne s’était-elle pas trompée ? Peut-être était-ce seulement son imagination ? Non. Il y avait quelqu’un, tout près d’elle. La femme entendit sa respiration, que l’inconnu tentait de retenir. Un portable sonna. Elle fit un pas en arrière. Toujours l’arme à la main, elle cria : << Qui est là ? Sortez d’ici !!! >>. Mais personne ne répondit.

Elle réussit à atteindre l’interrupteur, la lumière éclaira tout le hall d’entrée jusqu’à la cage de l’escalier B. La veuve s’approcha et vit un homme accroupi. Il se leva brusquement, la bouscula et s’enfuit sans dire un mot.

Kenza M.