Brusquement… Entre-temps… Et ensuite

Mis en avant

Brusquement une vitre éclata. Le braquage de la petite maison dans la prairie commençait .
Les auteurs de cet acte étaient cinq hommes : John, Field , Ken , Herald , Ken et Eddie. Leurs noms de code : pour John , Spider-cochon car il arborait un masque de cochon ; Field et Herald c’était Buble-gum et Bulle, ils portaient des masques en Malabar ; pour Ken, Mr Rixe car il adorait se battre, il était déguisé en ninja ; Eddie c’était le bon, la brute et le truand à lui tout seul car était schizophrène.
Revenons à notre vitre cassée. C’était Eddie. Une pulsion l’avait emporté. Ils étaient entrés dans la maison. Un seul but: voler les pantoufles en verre de Cendrillon. Ils pénétrèrent discrètement dans la maison.

Entre-temps l’alarme s’était déclenchée.C’était une alarme silencieuse et les cambrioleurs ne se doutaient pas que quatre énormes hommes de pain d’épice sculptés comme des taureaux les observaient. Les cinq cambrioleurs continuaient leur avancée dans cette petite maison…

Et ensuite les quatre gardes firent irruption devant les cambrioleurs. Pris par surprise, Eddie courut se réfugier dans un coin. Mr Rixe fonça vers un des gardes avec son petit couteau. Il en frappa un. Le garde n’eut pas le temps de réagir que déjà Mr Rixe lui tranchait la carotide. Le garde tomba à terre en se vidant de sons coulis saveur framboise. Eddie pris d’une extrême envie de meurtre se jeta sur le deuxième garde et le mordit à mort. Spider-cochon sortit un sucre d’orge à plomb et tira sur les gardes restant. Herald et Fild tirèrent Eddie en arrière pour lui faire lâcher le garde qu’il avait commencé à grignoter. Il lui donnèrent un tranquillisent puis le laissèrent sur place pour aller chercher les pantoufles. Ils les prirent et partirent.

Ils les vendraient, et avec l’argent, iraient s’installer aux Caraïbes.

L’inconnu de l’escalier

Mme Dolgorouki s’avançait prudemment vers la cage d’escalier où se cachait l’inconnu. Son cœur battait de plus en plus vite.Tout à coup, elle hésita à avancer car elle avait vu que l’ombre de l’inconnu sortait lentement un couteau de sa veste. Elle prit son courage à deux mains pour ne pas s’enfuir. Elle mit son arme en évidence pour effrayer l’inconnu mais cela ne changea rien.

Il commença à sortir de la cage. En voyant l’inconnu elle prit peur et s’enfuit. Mais quand elle arriva devant le bas de son immeuble, la porte ne s’ouvrit pas. L’inconnu se rapprochait d’elle, elle courut vers le portail de la résidence mais le portail était en panne à cause du froid.

L’inconnu se rapprochait de plus en plus, elle essayait de grimper par dessus le portail mais il faisait trop froid pour qu’elle y arrive. Il se rapprochait d’elle, il était maintenant à sa hauteur. Il essaya de l’attraper mais elle lui échappa grâce à cet hiver glacial. La veuve mourait de froid, elle était cachée derrière un arbre, l’inconnu lui glaçait le sang car il était imposant et trapu. Il l’avait repérée alors elle se mit à courir en essayant de lui tirer dessus mais il bougeait trop. Son revolver était discret, robuste, alors que l’inconnu possédait un couteau qui était long avec une lame aiguisée, faite pour ce genre de combat.

Ils étaient au coude à coude, mais l’inconnu courait plus vite. Il l’attrapa et la jeta à terre. Il lui mit le couteau sous la gorge, mais discrètement elle lui pointa son revolver sur lui et le tua.

Sharon

Agresseur caché

Elle voulut tirer mais l’agresseur était caché.  Lorsque l’agresseur voulut regarder vers la veuve, la femme eut peur mais tira quand même. La veuve voulut appeler la police mais n’avait pas son téléphone.

Elle alla chez elle, ouvrit la porte, s’approcha du téléphone jusqu’à ce qu’elle entendit un bruit venant de la cuisine. La veuve se cacha derrière la porte de la cuisine. En prenant le téléphone, elle remarqua une ombre devant la porte d’entrée. Elle alla se cacher dans la salle de bains pour avoir le temps de sortir son arme. Puis elle s’avança vers la porte et vit que l’ombre n’était plus là. La veuve revit l’ombre devant sa chambre. Elle essaya  de regarder qui était là, mais on lui lança un couteau avant même qu’elle eut le temps de se pencher pour voir. Elle eut la chance d’avoir réussi à esquiver le couteau. La jeune femme était maintenant sûre qu’il y avait une autre personne dans l’appartement. Elle se cacha dans la salle de bains jusqu’à ce que l’agresseur se dirige vers elle. Puis elle sortit de sa cachette et lui tira dessus avant même qu’il eut le temps de réagir. La veuve reprit le téléphone et appela la police.

Somir

« Maintenant l’arme était dirigée vers le danger ».

Et elle resta figée sur place …L’homme se mit à bouger. Prise de panique, elle tira !
L’homme prit la fuite.. . Ce qu’elle ne savait pas, c’est que l’homme était un détenu qui venait de s’échapper de prison.

Le lendemain,elle vit aux informations qu’un détenu s’était échappé.
Le matin en allant au travail, elle regarda dans sa boite aux lettres et découvrit une lettre qui disait:
« Tu te souviens quand tu m’as tiré dessus ? Et bien tu m’as raté…Sache que je ne te raterai pas !!! »

Elle eut tellement peur qu’elle rentra chez elle et appela la police mais la ligne était coupée. Elle n’avait pas de téléphone portable. Et quelqu’un frappa a la porte. C’était son fils. Elle le laissa entrer. Elle lui raconta tout. Comme il était riche il lui proposa d’aller habiter sur la Côte d’Azur.
Six mois plus tard, elle reçut une lettre qui disait :
« Tu te souviens de moi…et bien je suis revenu te tuer »
Et là, BOUM ! Ce fut la fin !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Th.